Il a expliqué pourquoi il était impossible d’interdire tous les plastiques en raison de leur utilité dans divers domaines et a identifié le problème des plastiques à usage unique et des emballages, qui représentent 32% de la production. Philippe Bolo a insisté sur l’importance de l’économie circulaire, de la réduction, du réemploi et du recyclage des emballages pour réduire les polymères vierges, ainsi que sur l’importance d’intégrer les micropolluants et les coûts des additifs problématiques dans les ACV du plastique, ces dernières ne tenant pas compte du fait que lorsqu’on abandonne des objets plastiques dans la nature, certains d’entre eux, abandonnés depuis 1950, forment un stock de micropolluants qui se libèrent au fur et à mesure du temps.

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